Les principaux symboles de Pallas-Athena

 

Rembrandt -1655 - Pallas Athena

Athéna était considérée comme la patronne et protectrice de plusieurs villes de Grèce, notamment celle d’Athènes. Elle est généralement montrée dans l'art portant un casque et un bouclier (la protection ) et tenant une lance (le combat ).

Les autres principaux symboles incluent l'olivier,  la chouette, le serpent et le Gorgonéion. 

Que nous disent les astéroïdes concernant ces symboles ?

L'Olivier

(9242) Olea : l'Olivier, Longévité, assiduité, continuité, harmonie, ressource, caractère paisible , le soleil (et son besoin), paix, fécondité, victoire, force, le soin et donc la protection, la récompense, l'onction (symbolique ou extrême), le paradis des élus, l'art floral (et son goût). (1) 

L'olivier est sous l'angle de sa symbolique de la paix, de la force, de la puissance, de la protection  dont est porteuse la déesse Pallas.

Avec les astéroïdes en lien avec la Chouette , nous en avons deux : Pallas la sagesse, la philosophe, mais aussi la diplomate faite de deux aspects (guerre et paix, négociation ou combat). En somme ne poussez pas Pallas dans les orties , elle n'est pas d'une patience illimitée et au bout du compte , c'est elle qui décide !

La Chouette

(8768) Barnowl  : La Chouette effraie (tyto alba) Le mystère et l'inconnu, l'exploration, la frayeur.

Nommé pour la Chouette effraie doit son nom de la frayeur qu'elle provoque. De par son surnom de Dame blanche, l'effraie est reliée à Guenièvre dont le nom vient selon toute vraisemblance du mot gallois Gwenhwyfar signifiant « le blanc fantôme », « la dame blanche » ou « la blanche fée ». Avec son masque blanc, la chouette effraie inspirait le mystère. Pour les Celtes, elle symbolisait l'inconnu, ce qui est dissimulé et qui reste à explorer. Les druides, les chamans, les guérisseurs, les sages..., ainsi que toute personne engagée sur un chemin spirituel, travaillaient quotidiennement avec l'esprit de la chouette effraie qui les aidait à ouvrir de nouvelles portes, à accéder à des connaissances nouvelles. Son aide était également précieuse dans des questions précises et pour apprendre à voir avec le cœur, à nous ouvrir à des horizons nouveaux. En savoir plus sur l'effraie (2 )

Mais aussi

(8962) Noctua :  Athene noctua, petite chouette, la sagesse, la philosophie, voir au delà des apparences, danger.  (3)

Lors de la désignation de l'astéroïde le 2 février 1999, le Petit-hibou figurait sur la Liste rouge des espèces menacées d'extinction des Pays - Bas . N'y voyons pas d'analogie , du moins, espérons le .

Le Gorgonéion et le serpent

Les Gorgones, au singulier Gorgone ou Gorgo, sont, dans la mythologie grecque, des créatures fantastiques malfaisantes dont le regard a le pouvoir de pétrifier les personnes qui les regardent. Elles sont trois sœurs : Méduse, Euryale et Sthéno. Cette dernière ne s'est pas vue attribuée un astéroïde., ce qui n'était pas un pointeur de vice dans la société grecque de l'époque; En rapport à Pallas , il se pourrait que ce soit en lien avec la plus "masculine" de nos déesses.

(4007) Euryale : l'homosexualité masculine - Troyen jovien

Euryale et Nisus sont deux personnages de la mythologie romaine qui apparaissent principalement dans l’Énéide de Virgile. Ils forment un des couples emblématiques de la relation pédérastique chez les anciens, Euryale - jeune adolescent - étant l'éromène et Nisus - un jeune homme légèrement plus âgé- étant l'éraste. Cet astéroïde évoque le côté masculin de Pallas Athena.

(149) Méduse : lutte pour les droits de l'homme, la métamorphose, le serpent(aire), monstre, pétrifiant, punir la victime.

Dans la mythologie grecque, Méduse est une des trois Gorgones. Elle est la petite-fille de Gaïa (la Terre) et de son frère Pontos (la Mer). Bien que de sang divin, elle est la seule des trois Gorgones qui soit mortelle. Méduse, qui est très belle, est séduite par Poséidon. Ce dernier, une nuit, l'entraîne dans un temple dédié à Athéna, la déesse vierge. Athéna, offensée, transforme Méduse en un monstre incapable de bouger, à la chevelure formée de serpents et au regard qui pétrifie celui qui le regarde. Sens Ancien de Gorgone : Créature mythologique à chevelure de serpents ayant le pouvoir de changer en pierre ceux qui croisent son regard. Par extension, une femme laide, au mauvais caractère. Une langue de vipère. Cet exemple nous rapproche de la symbolique du serpent et plus particulièrement de la vipère. N'ayant pas d'astéroïdes nommés pour la couleuvre , j'ai attribué un sens générique à la vipère, devenant pour l'instant la représentation symbolique de l'espèce générale des serpents. Si la vipere nos rapproche du poison , de la mort, de Nessus , la couleuvre elle nous rapproche du soin de l a vie, d'Asclépios. Cette dualité nous la retrouvons aussi dans les fonctions de Pallas Athena ; L''Athéna poliade (protectrice d'une cité) et d'Athéna combattante relèvent de registres différents, même s'ils sont complémentaires, de son champ d'action. Dans l'un et l'autre, les Grecs ont pu lui associer des serpents dans la mesure où ces animaux, parce qu'ils étaient soigneusement différenciés, symbolisaient les divers pouvoirs détenus par la déesse. Les facteurs qui ont, à l'origine, établi la relation entre Athéna et les serpents sont assurément moins zoologiques que religieux et symboliques et ils s'inscrivent dans la ligne de ses antécédents pré-helléniques. Mais, qu'il s'agisse de la grande couleuvre vénérée sur l'Acropole d'Athènes {Elaphe quatuorlineata) ou des vipères, telle Vipera ammodytes, situées au bord de l'égide, c'est la connaissance attentive des espèces repérées par les anciens Grecs dans leur herpétofaune qui a institué la validité de leurs choix. Même quand ils apparaissent simultanément, ces serpents ne peuvent être pris l'un pour l'autre. Chacun a non seulement son utilité et sa place propres, mais aussi ses traits spécifiques. Textes et représentations figurées rendent perceptibles l'appropriation entre les particularités physiques et comportementales des reptiles concernés et la position qui leur a été assignée dans le culte et dans l'iconographie d'Athéna. En raison de la puissance évocatrice qu'ils véhiculent, pareille concordance ne contribue pas médiocrement à intensifier le prestige de la déesse dans les deux sphères d'attribution où des serpents lui ont été adjoints. (4)   

(7464) Vipera : serpent, venin, empoisonnement, pouvoir hypnotique.

Nommé en référence à la Vipera berus, en voie de disparition dans le secteur de Klet (Tchéquie) ou fut découvert l’astéroïde. Ce dernier pourrait cependant pointer les serpents dangereux dans leur ensemble, et tout ce qui concerne le venin et l'empoisonnement dans leurs formes réelles ou imagées et aussi le serpent réel ou symbolique ... Vipera c'est le côté obscur de l'âme qui doit être transmuté, connaitre nos ombres pour pouvoir les vaincres : "Pour symboliser les transformations qui conduiront les défunts, des formes de cette vie terrestre, aux formes de la vie renaissante, dans un autre monde, les morts sont représentés dans certaines peintures égyptiennes comme absorbés par la gueule d'une vipère, enroulés dans son ventre et sortant par sa queue sous la forme d'un scarabée. Dans d'autres exemples, l'âme du défunt entre par la queue et sort par la gueule de la vipère. La vipère, porteuse elle-même d'un poison mortel jouerait ici le rôle de lieu ou de creuset des transmutations ; elle est conçue comme un alambic. Suivant une autre interprétation, celle de G. Maspéro, le reptile symboliserait ici le double de la vie des dieux. Mais le passage de l'âme des défunts par ce double aurait également pour effet de la préparer à sa vie nouvelle, en quelque sorte divinisée. Le serpent est, ici encore, imaginé comme l'agent des transformations physiques et spirituelles. Issue de l'inconscient dans les rêves, la vipère trahit une pulsion non intégrée dans la hiérarchie consciente des valeurs."

La vipère est considérée comme une sorte de serpent dangereux à cause de son venin mais aussi parce qu’on croyait au Moyen Âge qu’elle pouvait hypnotiser. La lexie vipère provient du grec « ασπις » qui signifie « bouclier » en référence à l’arrière de sa tête en forme de bouclier. Dans la mythologie grecque, la vipère est associée à deux monstres : Typhon et Échidna. Typhon possède cent têtes de dragons et le bas de son corps est entouré de vipères. Échidna est une créature mi-femme mi-vipère. Dans la Genèse, le serpent symbolise le mal : « Parce que tu as fait cette chose, tu es le maudit entre tous les animaux domestiques et entre toutes les bêtes sauvages des champs » (Gn, 3, 14) et les Père de l’Église ont toujours repris cette association dans leurs écrits. La figure de la vipère est aussi reprise en littérature, par exemple dans le poème « Une vipère réside dans le cœur de ma dame » de Guillaume de Machaut (XIVe siècle) et dans le roman d’Hervé Bazin Vipère au poing (1948). (5)

En somme, pour répondre simplement à la question initiale nous lisons à travers de symboliques particulières, une sorte de somme des symboliques portées par Pallas Athena.

L'olivier (la force victorieuse)  

La chouette  (l'intelligence née de la connaissance et de l'observation, la diplomatie) 

Le serpent (porteuse de vie et de mort, la mutation) 

Le Gorgonéion (la protectrice et la combattante). 

Pour mémoire :

(2) Pallas : Force, Diplomatie, modestie,  persévérance, accompagnement et protection (sur tous les plans: guidance), imagination, observation, la voix intérieure, le respect de soi, l'intelligence intuitive, l'émancipation féminine, médiatrice/ manipulatrice, le besoin de plaire, la complétude. (6)

Pallas, découverte le 28 Mars 1802 par Olbers de Brême  est le deuxième plus grand astéroïde de la ceinture principale (526 kilomètres de diamètre moyen) et le second qui fut découvert. L’objet serait selon des chercheurs américains, une protoplanète, c'est à dire un corps suffisamment massif pour former une planète, mais figé dans son évolution par manque de matériaux. Pallas a été nommé ainsi en l'honneur de la déesse grecque de la sagesse, de la science et des arts.  Source : http://www.astronoo.com/fr/asteroides.html

 Pallas a fait l'objet de nombreuses recherches dont une brève synthèse est délicate ...

-Dans la mythologie romaine, le nom de Pallas est l’épithète de la déesse Minerve, qui se confond avec la déesse grecque Athéna. L'armure, le bouclier et la lance d'Athéna... c'est la mobilisation intérieure de vos énergies pour faire face... c'est la force de votre champ aurique alimenté par votre noyau rayonnant, votre étincelle divine qui vous rend imperméable aux énergies extérieures qui tentent de vous agresser.... écouter… votre conscience... dans les récits mythologiques, il y est mentionné que la déesse Pallas-Athéna possède cette capacité de pénétration de l’invisible, et qu’elle l’utilise afin de venir conseiller et guider de sa sagesse les héros qu’elle protège, c'est la petite voix de notre conscience....vous soutient... Walter Otto, dans son livre « Les dieux de la Grèce », qualifie cette déesse comme étant « la toujours proche », et donc elle nous soutient et nous protège avec son bouclier et sa lance. Pallas agit dans la relation que l’on a avec soi-même, favorisant le respect de soi. Elle représente donc notre serment d’engagement à respecter notre intégrité morale, elle est donc prompte à réagir lorsque les droits moraux individuels sont menacés. C'est cette notion qui suscite la honte, le déshonneur.  http://www.lalyreduquebec.com/articles.php?lng=fr&pg=438

-Pallas Pallas-Athéna, demi-sœur de Mercure, est la déesse de la Guerre, de la Sagesse, des Artisans, des Artistes et des Maîtres d'école. « … Athéna jaillit, brandissant sa lance et son bouclier, de la tête de Zeus (Jupiter), en poussant un puissant cri de guerre. » Elle est le véhicule par lequel les pensées prennent forme et représente ainsi l’étincelle à la source de l’acte créatif. (http://issuu.com/oeildhoros/docs/odhthm51)

Pour Astro Jarry des loges : l’astéroïde Pallas Athénée est la grande "chamane" reliant les forces cosmiques et les obligations sociales.... Complexe de Cassandre co Maitresse des signes du Capricorne et du Verseau. 

Forte dans un ciel, je trouve qu' elle soutient les challenges, les innovations, elle aime ce qui "sort de l'ordinaire" sans distinction, elle est pour moi en affinité avec le Verseau.

Un de mes articles : https://microastrologie.blogspot.com/2019/05/de-la-terre-pallas.html

Merci de votre lecture

Par Elie Astro

Liens :

(1) - https://microastrologie.blogspot.com/2018/07/un-jour-un-arbre-un-asteroide-9242-olea.html

(2  - https://www.luminessens.org/single-post/2017/05/17/La-Chouette-effraie

(3) - https://microastrologie.blogspot.com/2019/06/asteroides-oiseaux-nuage-de-sens.html

(4) -  https://www.persee.fr/docAsPDF/ista_0000-0000_1990_ant_413_1_2279.pdf

(5) - https://bestiaire.hypotheses.org/vipere

(6) - https://microastrologie.blogspot.com/2021/01/les-quatre-deesses-ceres-pallas-junon.html

Un jour, un arbre, un astéroïde (9242) Olea, l'olivier

Photo de Christian Ferrer (wikipedia)

(9242) Olea est un astéroïde de la ceinture principale d'astéroïdes. Wikipédia
Période orbitale : 1 267 jours
Date de découverte : 6 février 1998
Magnitude absolue : 15
Groupe d'astéroïdes : Ceinture d'astéroïdes
Découvreur : Eric Walter Elst
Lieu de découverte : Observatoire de La Silla

Selon le MPC  (Minor Planet Center) Ast 9242 est  nommé pour Oleaceae, la famille des oliviers, avec environ 25 genres et près de 1000 espèces. Les genres incluent  le lilas,  le jasmin et le forsythia.( Pour moi une surprise!) . Plus avant Wikipedia cite aussi les troènes (Ligustrum) et les frênes (Fraxinus);  Le Mpc pointe aussi  Olea europa (olive commune) est rentable en tant que fruit et source de pétrole.

Point de révélation
Position de Olea
6 Février 1998 12°52 Vierge Rx

Degrés symboliques  (1) LES DEGRES HINDOUS
Degré d'harmonie.
« Une large étendue de champs ouverts où serpente une rivière sous les rayons de la lune ».
Caractère paisible, attrait pour les arts.
LES DEGRES DE BORELLI
Degré d’harmonie
« Un champ couvert de fleurs et éclairé par la lune en son plein. Près d'un fleuve, un couple cueille ces fleurs médicinales ».
LES DEGRES SABIANS
Charisme.
« Un puissant homme d'Etat vient à bout d'une violente crise politique ».
Besoin collectif d'ordre et d'organisation se condensant dans un personnage incarnant la réponse à ce besoin. 

(9242) Olea : Longévité, assiduité, continuité, harmonie, ressource, caractère paisible , le soleil (et son besoin), paix, fécondité, victoire, force, le soin et donc la protection, la récompense, l'onction (symbolique ou extrême), le paradis des élus, l'art floral (et son goût)

Histoires et mythologies

L'olivier sauvage existait au Sahara, il y a environ 11.000 ans avant notre ère et sa domestication remonterait à 3.000 à 4.000 avant J.-C.

Selon une légende, c'est en tenant un rameau d'olivier dans son bec qu'une colombe serait apparue dans le ciel pour annoncer la fin du Déluge. Cette espèce provient d'Europe méridionale et du Proche-Orient. (2) 

Son histoire commence avec Noé et le déluge : La colombe apporte le message du courroux de Dieu apaisé ; "Vers le soir, elle revint vers lui (Noé), tenant en son bec une feuille fraîche d'Olivier (Genèse 8-11).
L'onction, qui accompagne toute consécration ou sacrement, se pratique sans interruption depuis les prophètes : Saül et David furent oints par Samuel, Salomon le fut par Nathan. Le mot Kristos, en grec, se traduit par "l'oint du seigneur". Cette onction se pratique avec de l'huile d'olive vierge ou du saint chrême dont elle est le constituant principal. Toute l'histoire des rois des pays chrétiens en confirme l'extrême importance. Ainsi pour les catholiques, de nos jours, l'extrême-onction. (3)

Pour l'Islam, l'Olivier est le centre et le pilier du monde. Il est aussi la lumière. Le Coran (sourate XXIV) dit que "Dieu est la lumière des cieux et de la terre. Sa lumière est pareille à une niche où se trouve une lampe. La lampe est dans un verre pareil à un astre étincelant qui s'allume grâce à un arbre béni : un Olivier qui n'est ni l'Orient ni l'Occident et dont l'huile brûlerait sans qu'un feu la touche [...]" En amont des Hébreux et des Arabes, l'Olivier est l'arbre d'Abraham, c'est le paradis des élus. (3)

En Grèce c'est l'arbre d'Athéna. Lors d'une querelle avec Poséidon (les dieux grecs adoraient se chamailler) pour savoir à qui appartenait le territoire de l'Attique, Poséidon planta son trident dans le sol faisant surgir ainsi un puits d'eau salé ; Athéna riposta en faisant naître près du puits le premier Olivier. Le conflit fut soumis à un tribunal qui jugea que le cadeau de la déesse était le plus beau. Les Oliviers, Arbres sacrés, appelés dans ce cas "Moria" (donnés en partage par les dieux ou le destin), furent conjointement protégés par Zeus et Athéna.

On retrouva, plus tard cette vénération à Rome où ils étaient consacrés à Jupiter et à Minerve. (3)

La tradition chrétienne veut que l’on emporte, après la messe, les rameaux bénits, pour en orner les croix dans les maisons : geste de vénération et de confiance envers le Crucifié. Six jours avant la fête de la Pâque juive, Jésus vient à Jérusalem. La foule l’acclame lors de son entrée dans la ville. Elle a tapissé le sol de manteaux et de rameaux verts, formant comme un chemin royal en son honneur. C’est en mémoire de ce jour que les catholiques portent des rameaux (de buis, d’olivier, de laurier ou de palmier, selon les régions. Ces rameaux, une fois bénis, sont tenus en main par les fidèles qui se mettent en marche, en procession : marche vers Pâques du peuple de Dieu à la suite du Christ. (4)

Par Elie Asto 



Liens : 


(1) -  http://www.astrocours.be/Les-degres-symboliques.html


(2) - https://www.futura-sciences.com/planete/definitions/botanique-olivier-8064/ 



(3) - http://www.arfe.fr/mythes/mythes_arbres_europe.htm#OLIVIER


(4) - https://eglise.catholique.fr/approfondir-sa-foi/la-celebration-de-la-foi/les-grandes-fetes-chretiennes/careme-et-paques/semaine-sainte-paques/369510-le-dimanche-des-rameaux/